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 Amir Al-Katib

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Amir Al-Katib
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Amir Al-Katib


Messages : 58
Date d'inscription : 16/04/2013

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Citation: " Certains mettent de l'art sur leurs murs, moi c'est sur mon corps."
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MessageSujet: Amir Al-Katib   Amir Al-Katib EmptyMer 24 Avr - 20:03



Présentation de


Amir AL-KATIB
VOS PAPIER S'VOUS PLAIT




– Nom : Al-Katib
– Prénom : Amir
– Surnom : Le premier qui m'appelle le terroriste, je l'étrangle.
– Date de naissance : 17 Août
– Nationalité : Origines irakiennes mais officiellement américaine.
– Age : 27 ans. Non, je ne suis pas vieux.
– Métier : Tatoueur. Et ouais.
– Groupe : Citizen




    Feat. Malik Al-Sayf
    (C) Assassin's creed


See my face in the mirror
L'HABIT NE FAIT PAS LE MOINE


Physionomie : J'ai un physique typique irakien : une peau bronzée, le visage carré, un nez aquilin, des sourcils épais, les cheveux très bruns et les yeux marrons. Certes, tout cela est assez exotique pour les européens, mais là d'où je viens, c'est un physique passe-partout. Je suis aussi plutôt grand : je mesure environ 1m80, une taille honorable. Quant à ma musculature, disons qu'elle est relativement développée. Je ne suis pas un grand sportif donc je n'ai pas un corps de rêve – mais il n'est pas trop mal non plus, hein !
Style vestimentaire : Généralement, je ne porte que des tee-shirt et des pulls : premièrement, parce que c'est plus agréable, deuxièmement, parce que les chemises ne me vont pas du tout. Néanmoins, même si ces habits ne sont pas hautement considérés par l'élite stylistique, je ne dirais pas pour autant que je suis quelqu'un de « laissé allé ». Au contraire, j'aime renvoyer une bonne image et ne pas faire honte aux gens avec qui je sors. Et puis, je suis un adulte tout de même, je ne vais pas porter des jeans trois fois trop grands, des chaussures à moitié bousillées, et j'en passe...Non, bien que mon style vestimentaire soit plutôt « détendu », je reste bien habillé. En revanche, j'aime les choses simples, donc les logos – bien que, je ne vais pas vous mentir, je possède quelques vêtements avec des imprimés – trop peu pour moi ! Je préfère porter de la couleur, des choses sobres et confortable.
Mais je suis aussi un inconditionnel des bonnets. Pas que je cache une calvitie ou quoique ce soit, j'aime juste cet accessoire – et croyez moi, quand on à les cheveux brun et que le soleil tape, c'ets plutôt agréable et plus élégant qu'un Bob.
Particularité(s) : J'ai pas mal de tatouage un peu partout sur le corps: un scorpion dans le cou et croissant de lune musulman sur la nuque, un crâne mexicain sur l'épaule droite, un dessin de Alphonse Mucha sur le bras avec quelques roses, un vieux pistolet sur l'avant bras, le tracé des veines sous le bras; sur l'épaule et le bras gauche : un tatouage japonais avec des serpents et sur l'avant bras des sortes de bracelets noires, l'ouroboros, et un tatouage maori signifiant dynamisme et de l'harmonie dans le couple - que j’ai en commun avec Matt -
Sur le torse, j'ai côté cœur une boussole et au centre une chouette avec les ailes déployées. Sur mon côté gauche : une grande encre stylisée. Quant à mon dos, j'ai entre les omoplates un œil illuminati, une hirondelle sur chaque omoplate et un petit "fuck off" - années rebelles obligent - en bas du dos. Et si vous voulez savoir, non, je n'en regrette aucun.


What is in my mind ?
QUI SUIS-JE



Caractère : Je dirais que je suis plutôt caractériel. Bien que je sois très ouvert et amical, je reste assez grognon et un rien peut m'énerver si les choses ne se passent pas comme le conçois. Ça doit être les réminiscences de mon ancienne vie de vieux garçon. Néanmoins, aussi paradoxal que cela puisse paraître, j'ai tendance à beaucoup apprécier les gens qui me sortent de mes petites habitudes et qui ne se laisse pas faire. Je suis aussi quelqu'un de très actifs : je n'aime pas ne rien faire et je m'ennuie vite. Bien que je ne sois absolument pas contre le fait de me prélasser de temps en temps en bonne compagnie ( hein, Matt ), je préfère l'action ou même travailler. Il faut dire que je suis un passionné : quand je me lance dans quelque chose, j'y vais à fond.

Qu'est-ce qui vous plait à propos de Los Angeles ? J'aime le fait que ce soit une ville qui bouge : il n'y a pas un moment où en s'ennuie ! Puis, ça a les avantage de la capitale sans le côté trop conservateur de New york, et ça, croyez moi, c'est plus qu'appréciable. On ne se prend pas la tête ici et chacun vit à son rythme et fait ce qu'il a envie de faire sans que les autres se mêlent de ce qui ne les regardent pas. On est assez libre, en fait. Après, la foule de touristes est un peu gênante parfois, mais heureusement on s'y habitue vite.
Il a aussi cette impression de perpétuelles vacances avec le beau temps, la chaleur et la plage pas très loin, puis une certaine jeunesse : les rues sont remplient d'étudiants – tout comme les boîtes de nuit. Bref, il y a beaucoup de chose qui me plaisent à Los Angeles, et toutes les énumérer prendrait bien trop de temps.
Vous aimez faire la fête ? J'aime faire la fête, mais pas à outrance et bien accompagné ! Aller dans un endroit où je ne connais personne n'a pas vraiment d’intérêt – bien que ça me soit arrivé. Je préfère largement sortir avec une bande de copains et acheter des bouteilles pour ensuite les boire tranquillement sur la plage ! Bien que j'aime aller en boîte de nuit, c’est toujours compliqué de parler là-bas et par conséquent de faire éventuellement connaissance avec d'autre gens. C'est pour ça que je préfère les bars, les parcs et les coins ouverts : on en sort pas complètement sourds et c'est mieux peuplé.
Êtes-vous du genre à profiter des autres ou êtes-vous plutôt débrouillard ? J'aime faire les choses par moi-même car je sais que je peux vite criser si quelqu'un d'autre les fait mal. J'ai toujours tendance à croire que je suis le mieux placer pour faire le bricolage, cuisiner, ou même d'autres petites tâches du quotidien. Ça doit être mon côté perfectionniste-narcissique. Après, ça ne veut pas dire que je ne fais confiance à personne, au contraire ! C’est aussi bien de pouvoir s'appuyer sur quelqu'un, quitte à parfois en abuser – j'avoue, ça m'arrive.
Sur qui pouvez-vous compter en cas de problème ? La famille est une valeur sûre, d'autant que ma mère est un vraie rottweiler : s'il m'arrive quoique ce soit, je peux compter sur eux, mais surtout sur elle - Je déconne pas, elle fait vraiment peur quand elle est en colère. Il y a aussi Matt, bien évidemment. Je sais qu'il sera toujours là et que je peux compter sur lui,comme lui peut être sûr que je ne l'abandonnerais jamais.
Sinon, mon meilleur ami, Séche, qui, bien qu'il ne soit pas une lumière, est un type vraiment gentil et généreux.
Comment réagissez-vous face au danger ? J'ai tendance à essayer de rationaliser les choses, de parler. Bien sûre, il m'est déjà arrivé de réagir violemment, mais en général je préfère jouer les médiateurs et calmer le jeu. Sinon : fuir est aussi une solution.
Vous et la société ? J'aime la société, même si elle pense que je suis un potentiel terroriste fanatique de Hallah et que je ruine le sacrement du mariage. Plus sérieusement, je suis quelqu'un d'assez ouvert, j'aime parler, aller vers les autres. Je ne suis pas vraiment timide ! En revanche, je peux me montrer tout à fait désagréable avec des personnes que je considère indigne de mon respect, comme par exemple les membres de certaines communautés bigotes.
Un secret que vous gardez ? Je ne cache pas de secret. J'assume totalement mon homosexualité et l'Islam qui est ma religion.
Qu'est-ce qui vous fait honte ? Parfois, Matt quand il se balade nu comme un ver dans l'appartement. Je suis plutôt pudique donc...Puis, on a pas mal de baies vitrées et des voisins aussi. Sinon, je chante souvent sous la douche et pas très bien d'ailleurs. Je ne sais jamais vraiment quoi faire quand quelqu'un m'entend ou me surprend en plein solo – ou en duo avec moi-même.
Avez vous une passion dans la vie ? J'aime le dessin – je ne serais pas tatoueur sinon – mais aussi les grosses cylindrées. Je suis une sorte de cliché ambulant si vous voulez : le tatoué en veste en cuir qui aime les deux roues. Mais que voulez-vous, c'est ainsi ! Je suis donc passionné par la même occasion de mécanique. Il m'arrive de retaper de vieilles motos pendant le week-end, refaire la peinture, tout ça.
Avez-vous un but dans la vie ? Je n'ai pas de rêve extravagant : vivre une belle vie, être heureux et bien entouré est tout ce qui m'importe et pour l'instant c'est assez bien parti !


This is my life
MA VIE, MON ŒUVRE

Contrairement à ce qu'on pourrait croire, je ne suis pas né en Irak. J'ai toujours vécu avec ma parent à Los Angeles, car ce sont eux qui ont joué aux aventuriers en venant s'établir en Amérique avant ma naissance. Donc, désolé de décevoir les red necks, mais je suis officiellement américain ! Enfin bref... Bien entendu, je suis souvent retourné à mes racines, notamment parce que toute ma famille vivaient et vie encore dans la péninsule arabique. J'allais notamment voir mon oncle, Yusef, que j'adorais. Il faut dire qu'à chaque fois qu'on allait chez lui, j'avais le droit à pas mal de cadeaux. Plus sérieusement, en dehors du matérialisme enfantin dont je faisais preuve, c'était aussi quelqu'un avec qui je m'entendais très bien. Puis, l'ambiance était tout autre en Irak : je m'y sentais plus libre, plus à l'aise. Ça devait ajouter à mon euphorie, je suppose. J'y allais tous les étés, après tout, on avait les moyens : avec un père médecin et une mère avocate, on était loin d'être pauvres. Et oui, même si mes parents venaient d'un milieu religieux plutôt stricte, ça ne les avait pas empêché de réussir, au contraire.

Au collège, les choses ce sont un peu moins bien passées. Il faut dire qu'on était tous dans l'âge bête, pas bien dans notre corps et que dès qu'on pouvait se moquer les uns des autres pour se sentir un peu mieux, on le faisait. Je n'ai donc pas échapper aux brimades, bien que je faisais moi-même partie des premiers à critiquer. C'est d'ailleurs en me moquant de l'un de mes petits camarades que j'ai pu faire connaissance avec celui qui allait devenir mon meilleur ami : Séche Martillo. Il avait eu le courage de ne pas se laisser faire et s'était même battu avec certains. Autant dire qu'il avait gagné mon respect. A partir de ce moment, on ne s'est plus lâché et même s'il était assez chiant avec ses histoires de foot, j'aimais passer du temps en sa compagnie. Puis, il fallait nous voir : deux fortes têtes, deux caractères de cochons lié comme les deux doigts de la main. C'était assez drôle à voir – mais surtout à entendre.
Et puis les années sont passées, je suis rentré au lycée, Séche aussi, mais pas dans la même classe. Les premiers temps furent difficiles : sans son meilleur ami, on est vite perdu. Mais bon, c'était une étape par laquelle il fallait bien passé. De plus, ce n'était pas la fin du monde : je m'étais vite fais quelques amis. J'ai aussi découvert pas mal de choses durant ces trois années : mes premiers amours, mes premiers râteaux, premiers baisers, un p'tit job...Bref, pas le temps de s'ennuyer ! Sauf que, bah, fallait bien que ça dérape.
J'avais un petit problème : le filles ne m'intéressaient plus vraiment, alors que, étrangement, je trouvais le type mystérieux du dernier rang bien plus attirant. Certes, les premiers temps, j'ai tenté de tout nier et de me concentrer sur autre chose. Le résultat ? J'avais donné de faux espoirs à trois filles et j'étais toujours attiré par ce garçon. Il me fallut néanmoins un an pour accepter cela. Je décidais en revanche de ne pas avouer mon homosexualité à mes parents mais me tournais plutôt vers mon confident – non, pas Séche, il valait mieux éviter de lui parler de ce genre de chose – qui était à l'époque mon oncle. Et bien, je peux vous dire que j'en ai fait des bêtises, mais cella là fut le plus grosse de toute ma vie : mon oncle ne prit pas vraiment bien cette nouvelle. Au lieu de m'apporter le soutient que j'attendais, il préféra mettre toute ma famille au courant et ne plus m'adresser la parole. Fort heureusement, j'avais des parents compréhensifs, mais hélas, la moitié de la famille me tourna le dos. Plus jamais je ne retournerais en Irak. De toute façon, je n'allais pas en avoir l’occasion durant les années qui allaient suivre : en 2003, une guerre éclata entre mes deux patries.

Il y avait une certaine tension entre les habitants et « les gens comme moi ». Pourtant, je ne me considérais pas plus différent qu'eux. Je pense que la peur les aveuglait et que les attentats les avaient profondément marqué, mais tout de même. Ce n'était pas parce que quelques uns faisaient couler le sang que nous étions tous comme eux.
Je préférais ignorer tout ça et poursuivre mes études. Ils finiraient bien par se calmer. Je commençai donc ma première année en école d'art. C'était un milieu dans lequel je me plaisais, c'était assez libre et les gens étaient ouverts. C'est d'ailleurs à ce moment là que je me suis passionné pour le tatouage. J'avais même eut la chance de faire quelques stages dans des salons. Bref, je nageais en plein bonheur, a tel point que je ne vit pas ces quatre années d'études passer. On fêta donc avec Séche et quelques amis la fin de cette période studieuse de nos vie et notre entrée dans le monde du travail. Je dégotais d'ailleurs plutôt vite un job en renouant avec un de mes maîtres de stage qui allait devenir mon patron.

A 24 ans, j'avais un boulot, un appart' simpah et une bonne bande de potes. Il ne me manquait plus qu'une chose : trouver l'amour. Néanmoins, cela ne faisait pas encore partie de mes plans. Je me complaisais bien trop dans les amourettes évanescentes, des relations peu compliquées qui ne changeaient pas le cours de ma vie. C'est peut-être pour ça que je n'avait pas rappelé ce barman qui m'avait laissé son numéro en boîte, la veille au soir. J'avais eu tort, car cela m'aurait éviter un grand embarras. Laissez moi donc vous expliquer :

Je venais de finir un tatouage, la journée était bientôt finie, mon boss m'avait dit qu'il ne me restait plus qu'un client a prendre, vu que Josh - mon patron- devait rentrer plutôt et ne pouvait par conséquent pas s'en occuper. Devinez qui était ce-dit client : le mec de la boîte de nuit ! Autant vous dire qu'un silence gênant plana durant quelques minutes avant qu'il n'engage la conversation. Et vous savez quoi ? Il s'avéra que c'était un type charmant – en plus d'être plutôt mignon, je dois l'avouer. Il s’appelait Matt, venait de Paris – ça s'entendait d'ailleurs à son accent – et était perceur. On a discuté pendant trois heures, le temps que je finisse son tatouage et pour finir, je lui ai dit que je le rappellerais. Ce que j'ai fait. On s'est revu, on est sortis et puis on s'est rapproché. On s'est beaucoup rapproché.
Après quelques semaines, je décidai de le présenter à Séche – avouant au passage à ce dernier mon homosexualité. Je m'attendais à une crise, mais il ne réagit presque pas, et dit même «  bah, c'est comme si vous étiez hétéro », phrase mystérieuse qui je ne préférai pas comprendre. Bref. En tout cas, c'était certain : j'étais amoureux. Jamais je ne m'étais sentis aussi bien en couple, a tel point que je proposai à Matt d'emménager chez moi. En somme, tout allait pour le mieux, sauf peut être une chose : je supportais de moins en moins mon patron et le salon dans lequel je bossais. J'avais envie de donner ma démission, mais je ne savais pas vraiment où aller après, et puis j'avais besoin d'argent. Matt me fit alors part d'une de ses idées : monter notre propre salon. J'adhérais complètement. On économisa pendant un an avant de pouvoir acheter un emplacement dans la rue touristique de Los Angeles qu'on commença à retaper.

A maintenant 27 ans, je vis toujours avec Matt, j'ai retrouvé mon meilleurs ami qui était partie en Australie et je tient mon propre salon de tatouage et de piercing. Je ne dirais pas que la vie est belle, mais presque. En tout cas, je ne me plains pas de ma situation et j'espère que ça continuera comme ça.

Amir tient beaucoup à une vieille moto qu'il a retapé il y a de cela deux ans. C'est son moyen de transport, son petit bijoux. Il y fait très attention.




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Amir Al-Katib

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