Présentation de

Rin Nakamura

VOS PAPIER S'VOUS PLAIT

– Nom : Nakamura – Prénom : Rin – Surnom : Chou (malheureusement pour moi ! Demandez à Cassi...) – Date de naissance : 9 novembre 1988 – Nationalité : Japonais à la nationalité américaine – Age : 25 ans – Métier : Traducteur de romans anglais/japonais dans une grande maison d'édition – Groupe : Citizen

Feat. Kaname Kuran (C) Copyright

See my face in the mirror

– Physionomie : Ses cheveux noirs sont épais, très épais... il a d'ailleurs beaucoup de mal à les coiffer. Ils sont comme lui, indomptables. Mais ce que l'on remarque surtout dès le premier instant où votre regard se pose sur lui sont ses magnifiques yeux bleus d’azur qu’il tient des origines française de sa défunte mère, dans lesquels ont pourrait se noyer tant ils sont profonds. Son regard vous pénètre, vous transporte. Pourtant, il y a quelque chose qui vous met mal-à-l'aise... sûrement parce que vous avez l'impression qu'il vous sonde, qu'il vous analyse, comme s'il pouvait pénétrer dans vos pensées...
Du haut de ses 1 mètre 83 pour 70 kilos que de fins muscles qu’il se plait à entretenir sont harmonieusement dessinés par la musculation qu’il se plait à pratiquer pour s’entretenir sans tomber dans l’excès, mais pour se préserver une certaine forme physique, une allure, et surtout pour se vider l’esprit. Car il a toujours cet air de rêveur, il ne laisse jamais son cerveau en paix. Il est toujours en train de réfléchir ou bien de ruminer des pensées souvent pas très catholiques... Par là, je veux signifier que quelque chose en lui demeure, une blessure aussi profonde dans son cœur et incommensurable même s’il a retrouvé le goût pour la vie depuis sa rencontre et sa relation non pas seulement amoureuse mais idéalement complémentaire avec Cassiopea Zaccaron.

– Style vestimentaire : Vestimentairement parlant, Rin a toujours été gothique. Bien que gothique ne rime pas toujours avec noir, ce que l’on croit à tort, c’est pourtant la seule teinte qu’il se plait à porter. Les seules fois où vous le verrez mettre des vêtements autres qu’une chemise noire par exemple serait à son travail où son costume et sa chemise blanche s’harmonisent avec la pâleur de sa peau et la noirceur d’ébène de ses cheveux. De temps en temps, il essaie toutefois de changer pour faire plaisir à sa fiancée et tente de mettre du bleu marine, tout en restant dans le côté discret, bien qu’on le remarque largement pour son physique avantageux avant toute chose.
Au quotidien donc, Rin se plait à être gothique, style vestimentaire où il a l’impression d’être réellement lui-même. Extrêmement sensible au regard d’autrui, il a comme la sensation que ces vêtements construisent une barrière entre lui et les autres, et s’il s’attire parfois des regards malveillants, il n’en a que faire. Il sait au fond qu’on ne le juge au moins que pour son apparence et non pas pour ce qu’il est lui, au plus profond de lui-même.

– Particularité(s) : Les seules particularités que Rin possède sont la couleur presque improbable de ses yeux qu’il tient de sa mère, d’origine française, et des cicatrices à jamais ancrées à ses poignets, symboles de son mal-être d’antan qu’il ne pourra plus jamais dissimuler. Car oui, s’il a énormément souffert autrefois, aujourd’hui ses tentatives de suicide ou d’automutilation se sont enfin apaisée à présent qu’il a goûté, grâce à celle qu’il aime plus que tout au monde, au véritable bonheur.

What is in my mind ?

QUI SUIS-JE

– Caractère : Que se passe-t-il dans sa tête... Question difficile à laquelle on ne peut répondre qu'une phrase vague: beaucoup (trop) de choses. Il analyse sans cesse les gens qu'il aperçoit, leurs comportements, leurs façon de faire, de parler. Il se méfie de tout le monde, il est un peu paranoïaque sur les bords...
Il ne manque pas de caractère, il se fait simplement le plus discret possible. Durant son adolescence, il avait horreur qu'on le remarque, éternel solitaire. Pourtant cet état le faisait souffrir. Il jalousait secrètement ces jeunes qu'il voyait, s'amusant, riant... mais il refusait de se l'avouer. D'ailleurs en parlant de souffrance, vous l'aurez compris, c'est un être torturé, qui nourrit une haine et une rancœur indescriptible chaque jour.
Il ne supporte pas la violence, il en a subit les frais il y a de cela vingt ans... S'il n'aime pas les autres en général, il ne peut pas supporter la moindre main levée, le moindre mot au-dessus d'un autre et il viendra en aide à la personne qui en la victime. Des fois cela lui vaut quelques moqueries, ce « type bizarre », à ce que l'on dit, réagit trop « au quart de tour ». Néanmoins si on le provoque, il se contient le plus possible, préférant attaquer « psychiquement » la personne. Il sait détecter les moindres faiblesses des gens qui l'entourent, jouant avec la psychologie de ceux qui le défient ou l'exaspèrent.
Il est une personne réservée, associable, fuyant toute compagnie humaine. On ne le remarque pas, il est tel une ombre parmi les ombres. Il est là, tapi dans l'obscurité, les mains dans les poches, tête baissée et réfléchis. Oui, li réfléchis encore et encore, jusqu'en avoir le tournis. Il se perd dans des pensées qui l'envahissent encore et toujours. Elles ne le laissent jamais au repos... A quoi pense-t-il? A tout. Son cerveau ne trie rien, il souffre d'hypermnésie, rien ne lui échappe, et alors il se souvient de tout... même de ce qu'il aurait préféré oublier.
Aujourd’hui, les choses ont changées. S’il n’est toujours pas à son aise en société, son amour pour Cassiopea a fait de lui un homme nouveau, changé profondément. Devenu plus enjoué qu’il ne l’était autrefois et surtout bien plus posé, il a enfin su retrouver goût à la vie. Des projets plein la tête, un métier qu’il le passionne, aujourd’hui il le dit enfin : il se sent heureux.

– Qu'est-ce qui vous plait à propos de Los Angeles ? Ce qui me plait ici c'est avant tout de pouvoir repartir sur de nouvelles bases, de pouvoir fuir mon pays dans lequel j'ai bien trop souffert pour pouvoir enfin goûter au véritable bonheur avec ma fiancée que j'aime plus que tout au monde. Le climat y est également très agréable, sans compter que ce fameux rêve américain m'attirait inexorablement. De plus, j'ai pu y trouver un poste de traducteur de romans et de magazines anglais/japonais dans une très prestigieuse maison d'édition, où je peux largement gagner ma vie. Bref, un nouveau départ commence !
– Vous aimez faire la fête ? A vrai dire, faire la fête n'est pas réellement ma tasse de thé. Si j'y vais, c'est réellement pour faire plaisir, mais ça n'est pas dans mes goûts. La foule, le bruit, les bousculades et j'en passe... non, ça n'est décidément pas pour moi.
– Êtes-vous du genre à profiter des autres ou êtes-vous plutôt débrouillard ? Au contraire, je suis largement débrouillard et ce depuis l'âge de cinq ans où j'ai perdu mes parents, assassinés par un monstre qui croupit à présent six pieds sous terre, et sans personne pour le pleurer. Mes mots peuvent paraître durs, mais peut-on seulement pardonner à un homme quel qu'il soit le meurtre de sa famille ? J'en doute, à moins d'être un saint. Ainsi, je me suis donc construit seul à l'orphelinat, et ne me doit les choses qu'à moi-même, et au soutient de celle qui, je l'espère, deviendra ma femme.
– Sur qui pouvez-vous compter en cas de problème ? Sur une seule et unique personne : ma belle italienne. Cassiopea a toujours su être là pour moi comme je le suis pour elle, et en cela notre relation est également tout ce qu'il y a de plus spécial. Sans avoir nécéssairement besoin de se parler, nous nous comprenons entièrement. Alors je sais que je peux tout lui dire, absolument tout. Je n'ai aucun secret pour elle, même les plus sombres.
– Comment réagissez-vous face au danger ? Si l'on me cherche des noises, je préfère riposter par la parole. En revanche, je manque cruellement de sang froid, et j'ai donc bien trop souvent tendance à m'emporter et à laisser la colère me gagner. Mais rien ne saurait plus me faire de mal que quelqu'un qui en fait à Cassiopea. Dans cette condition, je sais que je deviendrai littéralement dingue?
– Vous et la société ? Comme vous avez pu le comprendre, je suis un grand timide. Je vais longuement analyser les personnes afin de voir si je peux ou non avoir confiance en elles, et me fie également à mon instinct pour cela. Ça passe ou ça casse, comme on dit. Cependant, une fois que je suis devenu véritablement ami avec quelqu'un, cette personne sait que je ferai tout pour elle, tout comme je serai prêt à aller décrocher la lune s'il le fallait pour mon italienne. Blagueur, j'aime toujours taquiner mes proches, bien que cela se fasse toujours dans la délicatesse.
– Un secret que vous gardez ? Le meurtre de mes parents lorsque j'avais cinq ans est quelque chose que je garde pour moi et qui me fait horriblement souffrir, alors que j'ai vu dans notre maison familiale leur corps s'effondrer dans une mare de sang... Mes nombreuses tentatives de suicides durant mon enfance et mon adolescence sont également des choses que je préfère garder pour moi.
– Qu'est-ce qui vous fait honte ? Oui, je l'admets, je rougis au moindre compliment que l'on peut me faire, ou lorsque l'on m'interroge sur les questions d'ordre intime entre moi et Cassiopea. J'en ai strictement une sainte horreur !
– Avez vous une passion dans la vie ? Sans hésiter, ma passion est la lecture. L'écriture également, mais je ne passe pas un jour sans parcourir les lignes d'un ouvrage.
– Avez-vous un but dans la vie ? En effet, mon but serait que, à présent que Cassiopea et moi avons aménagés ensemble, de la demander en mariage et de construire une famille. Rien ne saurait plus me combler de bonheur que cela.

This is my life

MA VIE, MON ŒUVRE

Il se souvient de tout. Oui, d’absolument tout... il se rappelle de ses parents qui vinrent le réconforter lorsqu’à ses 5 ans il avait peur des monstres qui se cachaient sous son lit. Il se souvient de leurs mots qui le réconfortaient, puis les revoit le quitter pour aller eux aussi rejoindre leur chambre... Il se souvient d'un cliquetis discret qu'il a pourtant entendu, de bruits de pas qui foulaient doucement le sol. Il se rappelle du cri de sa mère qui lui glace encore le sang lorsqu'il y repense... Il entend encore ce bruit sourd, celui des corps qui s'effondre sur le plancher.
Il a peur, se cache sous le lit et y reste pendant quelque temps. Combien? Il ne saurait le dire. Ça lui a paru être une éternité.
Puis une main s'est tendue vers lui, un homme en uniforme qui l'impressionnait mais qui avait pourtant un sourire qui se voulait rassurant et par lequel il essayait vainement de dissimuler sa tristesse. Il le prit dans ses bras et le conduit alors hors de sa chambre.
Il y avait du monde dans sa maison, et tous se réunissaient autour de grandes flaques rouges... Où étaient ses parents? Il ne le comprit que plus tard...
Depuis, Rin ne vit que pour se venger de cet homme, ce fou qui a pénétré chez lui par une rude soirée d'hiver et qui a ôté la vie de ses parents. Il n'a aucun projet d'avenir, tout ce qu'il sait, c'est qu'il veut lui faire payer personnellement pour son crime, pour l'avoir arraché si brutalement à sa famille, pour lui avoir gâché sa vie.
Les 13 années suivantes, il les a passées dans un orphelinat lugubre, là où il s'est peu à peu exclu lui-même de toute vie sociale. Puis, devenu majeur, il a décidé d'intégrer un pensionnat dans la ville de Matsuyama. A vrai dire, il suffoquait dans cette vieille bâtisse, il avait l’envie de tout reprendre à zéro, de fuir ce lieu où les gens s’apitoyaient sur son sort. Il a toujours eu horreur de la pitié. Là-bas au moins il pourrait repartir à zéro, se disait-il. Et en effet, les choses changèrent radicalement pour lui. S’il a réussi pour la première fois à se faire de véritables amis, il y a une connaissance en particulier qui le marquera à toujours : celle de Cassiopea Zaccaron, pour qui il a eu le véritable coup de foudre, et réciproquement. Très vite, leur relation s’est faite fusionnelle et leur couple est né. Durant leurs deux ans d’études au pensionnat, leur relation est passée du pire au meilleur, du tragique au bonheur. Et s’il leur ait arrivé une fois de se séparer, cela ne dura pas longtemps. Bien trop attaché l’un à l’autre, c’est loin de son regard, de son corps, de ses lèvres, de ses paroles et de ses caresses qu’il s’est rendu compte qu’il n’était rien sans elle, et elle sans lui.
Leurs études se sont donc faites avec certes de nombreux aléas, mais qui les ont rapprochés plus que jamais.
Aujourd’hui installés ensemble à Los Angeles après avoir fait leurs études dans une université japonaise, c’est une nouvelle vie qui s’offre à eux, et, l’espèrent-ils, pour leurs projets matrimoniaux et parentaux qui les attendent enfin.

votre personnage possède-t-il des armes ? Un objet fétiche ? Le seul objet fétiche que possède Rin est la photographie de ses parents qu'il garde toujours précieusement sur lui dans son portefeuille.

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